ASUS ROG Swift PG32UCDM et son écosystème : Tout à la mode de la république !, page 5

Vous l'avez lu, pour le moment, le bilan est mitigé. Si le bras est excellent, la lampe l'est beaucoup moins. Mais qu'en est-il de l'écran ? Nous l'avons trouvé un peu trop haut, heureusement qu'il y a le bras. En ce qui concerne l'affichage, nous avons une excellente dalle pour plusieurs raisons : l'UHD permet un espace d'affichage suffisamment large pour travailler sur les gros logiciels mais aussi en multi-fenêtres. Le 32 pouces permet d'avoir une bonne finesse de pixels sans pour autant avoir des écritures trop petites. Et bien évidemment, l'OLED permet d'afficher une image avec des noirs profonds tout en supprimant les artefacts d'affichage. Avec en prime un capteur de proximité permettant d'éteindre ou d'allumer l'écran simplement en quittant ou revenant à son siège, il n'y a pas mieux comme protection de dalle OLED. Aussi, nous sommes sur une dalle de troisième génération, offrant un affichage lisse même sur les polices d'écriture.

Et si nous en sommes satisfaits au travail, il en est de même en jeux. Nous avons une dalle fluide en 240 Hz incorporant toutes les technologies VRR, à savoir l'AMD FreeSync, le G-Sync Compatible de NVIDIA et l'Adaptive-Sync. Et comme toujours avec l'OLED, nous avons un temps de réponse de 0,03 ms réduisant à néant le ghosting. Avec ces dalles OLED de troisième génération, nous en arrivons à un type de dalle parfaite pour le joueur, surtout si les options de gaming sont incluses dans l'écran. Et pour cet écran, Asus semble avoir tout inclus. Nous avons un viseur intégré, le réglage des noirs pour y voir plus clair dans les zones sombres, et même l'ELMB-Sync, bien que cela soit inutile sur une dalle OLED.