Il nous est arrivé de vous parler de nouveaux écrans dotés de la nouvelle technologie NVIDIA G-Sync Pulsar. Mais nous ne nous sommes toujours pas attardés sur ce qu’est cette technologie. Aujourd’hui, nous remédions à ce manquement en tentant de vous expliquer ce qu’est cette nouvelle lubie des verts.
Annoncé au dernier CES, le G-Sync Pulsar promettait d’améliorer drastiquement le flou en mouvement sur les écrans équipés. Pour ce faire, NVIDIA a décidé de s’attaquer à la persistance rétinienne, comme le feraient le DyAc+ d’AOC ou encore l’ELMB-Sync d’ASUS, qui intègrent des images noires entre des images calculées par la carte graphique. Comme pour ces technologies, Pulsar va réduire la durée pendant laquelle une image est affichée. Mais cette fois-ci, NVIDIA ne décide pas d’intégrer ces images noires demandant un écran à haut taux de rafraîchissement qui voit sa fréquence diminuée à l'activation de la technologie. À la place, NVIDIA utilise le rétroéclairage via un Backlight Strobbing (clignotement du rétro-éclairage). Les LED, Micro LED ou Mini LED, même épaulées d’un Quantum Dot, vont clignoter de manière synchronisée avec le nombre d’images affichées. En résumé, la rétine perçoit l’image sur un laps de temps plus court mais avec une luminosité plus forte, paraissant ainsi plus net.
Le souci est que, comme pour l’ELMB ou le DyAc, nous avons une perte de luminance maximale sur l’image finale. D’autre part, le clignotement peut être visible à basse fréquence (amis photosensibles, on pense à vous), si bien que la technologie se désactive en dessous de 90 ips. Autre complication pour NVIDIA durant le développement de cette technologie : il a fallu repenser le matériel et les logiciels. Cela sous-entend : nouveaux moniteurs, nouveaux pilotes ou encore nouveau firmware, mais NVIDIA rassure, il ne sera pas nécessaire de changer de GPU, sauf peut-être pour les plus anciens. Et enfin NVIDIA annonce que certains moniteurs déjà sur le marché pourront activer le Pulsar via une mise à jour de firmware, sans pour autant préciser lesquels.
Pour le moment, nous n’avons aucune idée du résultat. Il faudra attendre que le Pulsar s’installe sur nos écrans pour se faire une idée du ressenti. Seuls trois écrans sont annoncés avec cette technologie : le AOC AGON Pro AG276QSG2, l’ACER Predator XB273U F5 et l’ASUS ROG Swift 360 Hz PG27AQNR. NVIDIA annonce que l’ajout de cette technologie n’entraîne pas de gros surcoût et qu’à l’avenir, tous les écrans G-Sync seront équipés de Pulsar. Pour les écrans OLED, nous n’avons aucune information, même si nous pensons que son implantation devrait être plus aisée au vu des pixels auto-émissifs. Quoi qu’il en soit, nous les attendons avec impatience et nous vous dirons si le Pulsar est convaincant ou s’il provoque davantage de crises d’épilepsie.
Annoncé au dernier CES, le G-Sync Pulsar promettait d’améliorer drastiquement le flou en mouvement sur les écrans équipés. Pour ce faire, NVIDIA a décidé de s’attaquer à la persistance rétinienne, comme le feraient le DyAc+ d’AOC ou encore l’ELMB-Sync d’ASUS, qui intègrent des images noires entre des images calculées par la carte graphique. Comme pour ces technologies, Pulsar va réduire la durée pendant laquelle une image est affichée. Mais cette fois-ci, NVIDIA ne décide pas d’intégrer ces images noires demandant un écran à haut taux de rafraîchissement qui voit sa fréquence diminuée à l'activation de la technologie. À la place, NVIDIA utilise le rétroéclairage via un Backlight Strobbing (clignotement du rétro-éclairage). Les LED, Micro LED ou Mini LED, même épaulées d’un Quantum Dot, vont clignoter de manière synchronisée avec le nombre d’images affichées. En résumé, la rétine perçoit l’image sur un laps de temps plus court mais avec une luminosité plus forte, paraissant ainsi plus net.
Le souci est que, comme pour l’ELMB ou le DyAc, nous avons une perte de luminance maximale sur l’image finale. D’autre part, le clignotement peut être visible à basse fréquence (amis photosensibles, on pense à vous), si bien que la technologie se désactive en dessous de 90 ips. Autre complication pour NVIDIA durant le développement de cette technologie : il a fallu repenser le matériel et les logiciels. Cela sous-entend : nouveaux moniteurs, nouveaux pilotes ou encore nouveau firmware, mais NVIDIA rassure, il ne sera pas nécessaire de changer de GPU, sauf peut-être pour les plus anciens. Et enfin NVIDIA annonce que certains moniteurs déjà sur le marché pourront activer le Pulsar via une mise à jour de firmware, sans pour autant préciser lesquels.
Pour le moment, nous n’avons aucune idée du résultat. Il faudra attendre que le Pulsar s’installe sur nos écrans pour se faire une idée du ressenti. Seuls trois écrans sont annoncés avec cette technologie : le AOC AGON Pro AG276QSG2, l’ACER Predator XB273U F5 et l’ASUS ROG Swift 360 Hz PG27AQNR. NVIDIA annonce que l’ajout de cette technologie n’entraîne pas de gros surcoût et qu’à l’avenir, tous les écrans G-Sync seront équipés de Pulsar. Pour les écrans OLED, nous n’avons aucune information, même si nous pensons que son implantation devrait être plus aisée au vu des pixels auto-émissifs. Quoi qu’il en soit, nous les attendons avec impatience et nous vous dirons si le Pulsar est convaincant ou s’il provoque davantage de crises d’épilepsie.
source : nvidia
Marque : NVIDIA
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Posté le 10 Septembre 2024 à 08:02 par Lucas Empi
