L’un des points majeurs sur lequel Intel a particulièrement insisté au cours de sa présentation des processeurs Lunar Lake est l’amélioration très nette de son efficacité énergétique, et ce, à tous les niveaux. Par exemple, rien que l’usage de la mémoire vive, qui, on le rappelle, est désormais directement intégrée au processeur, consomme 40 % de moins que les systèmes précédents selon les bleus. Ainsi, on obtient 2,29x de performance en plus par watt entre le nouveau Ultra 9 288V et l’Ultra 7 165H de l’ancienne génération, tandis que le rapport serait de 1,2x par rapport aux récents processeurs de chez Qualcomm.
Avec une consommation moyenne oscillant entre 9 watts et 33 watts, Intel annonce grosso modo entre 33 % et 50 % de perf/watt en plus par rapport à la génération précédente de processeurs Ultra, sachant que les chiffres affichés par Intel comprennent la consommation de la mémoire vive quand cela concerne les processeurs Lunar Lake, alors qu’elle n’est pas prise en compte pour les processeurs de la génération précédente.
Dans les jeux, nous sommes doublement récompensés, car non content de voir la consommation baisser, ce sont aussi les résultats qui deviennent nettement satisfaisants avec la possibilité de jouer avec le GPU intégré de façon fluide en medium/1080p et +/- 60 FPS.
Par contre, on constate que le Core Ultra 9 288V, affichant 30W de base contre 17W pour tous les autres processeurs, tient « seulement » 14 heures avec UL Procyon qui tourne, tandis que le Core Ultra 7 268V pourra tenir 20 heures dans les mêmes conditions, autant dire que la conso en rab du Core 9 aura un impact réel sur l’autonomie. Par contre, l’écart est nettement moins flagrant quand il s’agit de faire tourner Microsoft Teams 3x3, avec 9,9 heures pour le Core 9 et 10,7 pour le Core 7.
C’est donc un sacré bond en avant sur le front de l’autonomie des PC portables, avec des capacités qui pourraient atteindre selon Intel jusqu’à 20 heures en faisant tourner UL Procyon. Facile donc d’imaginer des autonomies jusqu’à 28+ heures avec des usages plus raisonnables. Nous ne manquerons pas de poser des questions en ce sens auprès des fabricants de PC portables dans les jours qui viennent.
Évidemment, les chiffres affichés par Intel ne nous disent rien de la batterie utilisée, donc tout ça dépendra de l’équipement final du PC.
Avec une consommation moyenne oscillant entre 9 watts et 33 watts, Intel annonce grosso modo entre 33 % et 50 % de perf/watt en plus par rapport à la génération précédente de processeurs Ultra, sachant que les chiffres affichés par Intel comprennent la consommation de la mémoire vive quand cela concerne les processeurs Lunar Lake, alors qu’elle n’est pas prise en compte pour les processeurs de la génération précédente.
Dans les jeux, nous sommes doublement récompensés, car non content de voir la consommation baisser, ce sont aussi les résultats qui deviennent nettement satisfaisants avec la possibilité de jouer avec le GPU intégré de façon fluide en medium/1080p et +/- 60 FPS.
Par contre, on constate que le Core Ultra 9 288V, affichant 30W de base contre 17W pour tous les autres processeurs, tient « seulement » 14 heures avec UL Procyon qui tourne, tandis que le Core Ultra 7 268V pourra tenir 20 heures dans les mêmes conditions, autant dire que la conso en rab du Core 9 aura un impact réel sur l’autonomie. Par contre, l’écart est nettement moins flagrant quand il s’agit de faire tourner Microsoft Teams 3x3, avec 9,9 heures pour le Core 9 et 10,7 pour le Core 7.
C’est donc un sacré bond en avant sur le front de l’autonomie des PC portables, avec des capacités qui pourraient atteindre selon Intel jusqu’à 20 heures en faisant tourner UL Procyon. Facile donc d’imaginer des autonomies jusqu’à 28+ heures avec des usages plus raisonnables. Nous ne manquerons pas de poser des questions en ce sens auprès des fabricants de PC portables dans les jours qui viennent.
Évidemment, les chiffres affichés par Intel ne nous disent rien de la batterie utilisée, donc tout ça dépendra de l’équipement final du PC.
Marque : Intel
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Posté le 03 Septembre 2024 à 18:03 par Sébastien Domeau
