Depuis quelques temps, AYANEO est en mode rétro et annonce régulièrement des machines qui reprennent le style de systèmes iconiques. Aujourd'hui, place au petit PC AM02 qui s'apparente à une console Nintendo NES. C'est original, mais les choses ne s'arrêtent pas là puisqu'on retrouve un écran tactile de 4" sur le dessus, plus un AMD Ryzen 7 7840HS à l'intérieur pour une puissance qui ne sera pas à négliger.
Et histoire de pousser un peu le souci du détail et la ressemblance, la connectique avant est installée derrière un cache qui renvoie directement à celui qui servait à cacher la cartouche de jeu.
Comme souvent avec la marque, tout passera par une campagne de financement participatif sur Indiegogo et tous les détails ne sont pas encore connus, notamment sur le fonctionnement de l'écran. AYANEO indique aussi la présence de son interface maison AYASpace, ce qui peut indiquer que la machine à vocation à servir pour jouer en 1080p avec la technologie FSR sur certains titres pas trop gourmands, ou bien à du retro gaming.
Le refroidissement de l'APU, qui fonctionne de 15 W à 30 W, est également mis en avant, mais sans plus de précisions.
Réponse ce 18 janvier à 13h30, heure de Paris.
Et histoire de pousser un peu le souci du détail et la ressemblance, la connectique avant est installée derrière un cache qui renvoie directement à celui qui servait à cacher la cartouche de jeu.
La suite au prochain épisode
Comme souvent avec la marque, tout passera par une campagne de financement participatif sur Indiegogo et tous les détails ne sont pas encore connus, notamment sur le fonctionnement de l'écran. AYANEO indique aussi la présence de son interface maison AYASpace, ce qui peut indiquer que la machine à vocation à servir pour jouer en 1080p avec la technologie FSR sur certains titres pas trop gourmands, ou bien à du retro gaming.
Le refroidissement de l'APU, qui fonctionne de 15 W à 30 W, est également mis en avant, mais sans plus de précisions.
Réponse ce 18 janvier à 13h30, heure de Paris.
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Posté le 16 Janvier 2024 à 09:20 par Sébastien Vandeborre